SOURIONS !

UN PEU D’HUMOUR

SOURIONS !

♦  Un jeune avocat à son ami fermier: – Tu as été lésé, tu devrais faire un procès à ton voisin.
Le fermier : – Eh ! Mon bon ami ! J’ai constaté que ceux qui plaidaient pour une chèvre, perdaient aussi leur mulet !

 Un patron exige de sa secrétaire, qui se trompait souvent dans les calculs, qu’elle refasse chaque calcul trois fois :
Je viens de faire les calculs six fois, dit-elle à son patron.
Excellent ! s’exclame-t-il, voilà de la conscience professionnelle !
Et voici les six résultats, dit-elle !

 Un ami de Gaston lui demande comment il se fait qu’il n’ait pas effectué le service militaire. Vraiment, je ne comprends pas, répond Gaston ; pourtant à chaque examen médical en vue de déterminer mon aptitude au service militaire, j’ai parié 1000 € avec le médecin militaire, que maintenant j’allais être accepté. J’ai perdu tous mes paris !

 Un conscrit essaye de se faire passer pour aveugle, mais le soir, voici qu’il se trouve, au cinéma, assis à côté du médecin militaire. S’adressant au militaire :
Pardon, Madame, suis-je bien, ici, dans trolleybus N° 16 ?

 Une mère à son fils :
Il y avait deux gâteaux dans le réfrigérateur. Comment se fait-il qu’il n’en reste plus que un ?
Parce que je n’ai pas vu l’autre !

♦  Après la classe, un garçon de l’École Primaire s’adresse à son instituteur :
Monsieur, mon père vous fait demander si vous aimez manger du poulet ; je pourrais vous en apporter un.
Bien sûr, répond l’instituteur, j’aime le poulet.
Quelques jours plus tard, l’instituteur demande au garçon ce qu’il en est du poulet.
Merci de votre question, mais il est de nouveau en bonne santé !

 Un garçon court vers son école et priant : – Seigneur, fais que je n’arrive pas en retard ! A ce moment il trébuche et manque de peu de tomber. Il continue sa prière :
– Mais, s’il te plaît, Seigneur ne me pousse pas !

♦  Un garçon à sa tante : – Tata, ton thé t’a-t-il ôté ta toux ?

 Un petit-garçon regardant sa mère éplucher des carottes et des pommes-de-terre :
Maman, pourquoi les déshabilles-tu ?

 Au zoo un garçon demande à son père de lui acheter un phacochère.
– Ces animaux sont voraces, dit le père, nous ne pourrions pas le nourrir.
Mais papa, dit le garçon, n’as-tu pas vu le panneau : « Il est interdit de nourrir les animaux » ?

♦  Une mère et sa petite fille se promènent dans les montagnes. Elles rencontrent des cueilleurs de myrtilles. Une dame, aimablement, en donne à la petite fille. La maman à la fille :
Et que dis-tu à la dame ?
Encore, encore ! Répond la petite fille !

♦  Madame, votre enfant vient de me dire que j’ai une mauvaise langue !
C’est affreux, dit la mère, comme les enfants remarquent tout !

 Adelin est un petit garçon indocile et désobéissant. Il se comporte comme un sauvage à la maison, à l’école et partout où on l’emmène. Ses parents ont dépensé beaucoup d’argent auprès de spécialistes de la psychologie infantile, mais sans résultats. Un été ses parents lui permettent de passer des vacances à la campagne, chez son grand-père, sans prévenir celui-ci du caractère rebelle de Adelin. Ses vacances se passent sans encombre et au retour Adelin est devenu un garçon calme, discipliné et épanoui. Ébahis, ses parents demandent des explications au grand-père.
– Oh ! dis le grand-père, je lui ai simplement répété quand nécessaire, que s’il n’obéissait pas, je lui donnerai une copieuse fessée. Mais il ne l’a eue qu’une seule fois,
juste pour se rendre compte que je tiens mes paroles !

 Un couple avec un bébé s’apprête à s’installer sur l’herbe pour un pique-nique. En sortant de la voiture, la mère se tourne vers son mari :
Tiens, dit-elle, prends plutôt le petit et passe-moi les œufs. Tu serais capable de les laisser tomber !

 Au restaurant :
Garçon, ce poulet n’a que la peau et les os !
Si Monsieur le désire, je puis lui apporter quelques plumes !

♦  Un client d’un restaurant à un serveur :
 Pardon, Monsieur, servez-vous des andouilles ?
Nous servons tout le monde, Monsieur !

 Le client d’une gargote au serveur :
– Une omelette de trois œufs s’il vous plaît, garçon !
– Moi aussi, crie un autre client, mais des œufs frais !
Le serveur de crier en direction de la cuisine :
Eh cuistot ! Une omelette de trois œufs, plus une omelette de trois œufs frais !

♦  John Scott dort depuis deux jours dans un hôtel bon marché au bord de la Méditerranée. Il ne comprend pas d’où vient l’insupportable démangeaison, tout le long de son corps. Il se fait alors coudre une chemise à carreaux, chaque carreau portant un numéro. Pendant le dîner :
Garçon, faites-moi une gratation aux numéros 18, 20 et 25 !

  Un Parisien en vacances en Bretagne demande l’heure à un fermier en train de traire sa vache. Celui-ci soulève la mamelle et dit :
–   Six heures à peu-près.
 Quelle heure exactement ?
L’éleveur lève de nouveau la mamelle de sa vache et déclare :
–  Il est six heures et dix minutes.
 Mystérieux votre façon de connaître l’heure, dit le touriste.
–  Ben, en soulevant la mamelle de la vache, je peux voir la montre du clocher du village voisin !

 Un soir tard, un maghrébin frappe à la porte d’une auberge. L’aubergiste :
– Qui est là ?
– Mohammed Ali Benyoussef Benmokrane
– Entrez et que le dernier ferme la porte.

♦  Un car bondé dévale une forte pente. Derrière le car, un petit homme essoufflé tente en vain de le rattraper. Un voyageur lui crie par la fenêtre :
Inutile de courir, vous ne l’aurez pas !
Ce serait pourtant utile, je suis le chauffeur !

♦  Dans un avion, l’hôtesse demande au microphone s’il y avait un chrétien parmi les passagers. Un pasteur se signale.
– Je suppose que votre foi est ferme et véritable ? demande l’hôtesse.
Oui, dit le pasteur, j’ai une confiance totale en Dieu.
Ouf, nous sommes bien soulagés, dit l’hôtesse, car l’avion est en feu et il manque un parachute !

♦  En ville, un couple roule en voiture. Madame, crispée à son volant :
– Ah ! Ces piétons ! Toujours à se balader sur la chaussée !
– Sois raisonnable, chérie, lui dit le mari, et descends du trottoir.

♦  Un homme est étendu sur la plage et se dore au soleil. Son épouse, prévenante :
Quand dois-je te réveiller ? bien cuit, à point, ou saignant ?

♦  En entrant dans la propriété qu’il comptait visiter, un cambrioleur lit sur une pancarte : Attention, perroquet méchant ! Il sourit et passe outre. Mais soudain le perroquet se met à crier très fort : – Hector, attaque !

♦  – Pouvez-vous me nommer un mammifère sans dents, demande l’institutrice à ses élèves.
– Ma grand-mère ! répond un garçon.

♦  Jules écrit un mél à son marchand de fioul domestique. Il passe commande de 1000 litres de fioul et signe. Puis il ajoute : P.S. « Je viens juste de jeter un coup d’œil à la cuve. Elle est encore presque pleine. Donc inutile de nous livrer du fioul maintenant. » Puis il clique tranquillement sur « Envoyer » !

♦  Un voilier dirigé par un couple chrétien échoue sur la plage d’une île déserte. Le couple arrive à survivre. Quand finalement, au bout d’un an, un bateau les découvre, le capitaine du bateau est surpris de découvrir 3 huttes sur l’île.
Ben, dit le chrétien naufragé, cette hutte, c’est notre demeure ; l’autre, c’est mon Église.
Et la troisième hutte ? Demande le capitaine du bateau.
Ah ! ça ! dit le chrétien avec irritation et mépris, c’est mon ancienne Église !

♦  Un missionnaire rencontre un lion dans la brousse. – Seigneur, dit-il, donne des sentiments chrétiens à ce lion !
Et le lion se met à chanter : « Pour ce repas, pour toute joie, nous te louons, Seigneur… ».

 Un pasteur est en train de rénover son Église. Un jeune homme l’observe attentivement.
Bonjour jeune homme, lui dit le pasteur, tu veux voir comment on enfonce des clous ?
Non, dit le jeune, je voudrais savoir ce que dit un pasteur quand il se tape sur les doigts !

 Un pasteur demande à Philémon ce que fait un bon petit chrétien à son réveil.
Il le remonte, répond Philémon !

♦  Dieu, dit un chrétien, un million d’années, ce n’est pas grand-chose pour toi !
Non, dit Dieu, pour moi c’est comme une minute.
Dieu, un millions d’euros, ce n’est rien non plus pour toi ?
C’est comme un centime, dit Dieu !
Alors, peux-tu me donner un centime ?
Attends une minute !

♦  Un couple s’agace dans des embouteillages mais arrive juste à temps à l’aéroport. Devant le guichet d’enregistrement, l’épouse dit au mari :
Chéri, je crois que j’aurais dû emporter ma Bible !
Pourquoi donc ? Demande le mari ! C’est trop lourd !
Mais c’est que les billets d’avion se trouvent à l’intérieur !

♦  Un coiffeur recommande à son client une lotion pour faire repousser les cheveux.
Cette lotion est-elle efficace ? demande le client.
Pardi, dit le coiffeur, chauve lui-même comme un œuf, j’en prends depuis vint-cinq ans !

 Une petite fille à son grand-père :
Dis, Papy, pourquoi n’as-tu plus de cheveux sur ta tête ? Ce n’est pourtant pas la place qui manque !

 Un citadin, éberlué, à un paysan :
Quel est votre secret pour avoir des radis aussi énormes ?
Je sème des graines de betteraves rouges, dit le paysan. Chacun récolte ce qu’il sème !

♦  Le citadin au paysan :
J’ai épargné des années pour avoir mon cabriolet !
Oh ! Moi, dit le paysan, j’ai toujours eu de nombreux cabris au lait !

 Un jeune homme écrit à sa fiancée : Ma chérie, tu es tellement importante pour moi ! Pour toi je traverserais les fleuves ! Pour toi je traverserais les mers ! Pour toi je braverais les violentes tempêtes etc.
Il écrit sa formule de salutation et signe. Mais il ajoute :
P.S. S’il pleut dimanche, je ne viendrai pas !

  A la vendange les raisins prennent de la bouteille !

  Un écrivain demande à son éditeur s’il a lu sa dernière œuvre.
– Certes, réponds l’éditeur. Elle me rappelle l’épée de Charlemagne.
Intrigué, l’écrivain fait des recherches et découvre que cette épée, nommée
Joyeuse, est décrite comme « longue, plate et mortelle » !

 Un patient de ma clinique spécialisée dans les troubles du sommeil dormait debout pendant la journée. Je n’arrivais pas à en diagnostiquer la cause ; tout avait l’air normal. Après plusieurs consultations, c’est sa petite-fille qui m’a donné la clé de l’énigme :
– Mon grand-père prend toutes ses pilules le matin, y compris ses somnifères !
(Manuel Alvès, Sélection 06.2014).

♦  Une cliente se penche sur l’éventaire d’une poissonnerie :
– Il n’a pas l’air très frais votre poisson !
– Comment ça ? On dirait presque qu’il respire encore, répond le poissonnier
– C’est possible, mais il a bien mauvaise haleine ! rétorque la cliente.
(Jean-Louis Bernardic, Sélection 06.2014).

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