SES BREBIS ÉCOUTENT SA VOIX
Quand il a conduit au dehors toutes les brebis qui sont à lui, il marche à leur tête et les brebis le suivent, parce que sa voix leur est familière… Moi, je suis le bon berger ; je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent.
Jean 10.3,4,14,27
J’ai pu parler avec un berger qui gardait ses montons dans les collines derrière notre maison. Il connaissait parfaitement chaque mouton, son tempérament, ses points faibles… Il agissait avec chacun selon son caractère.
Il leur parlait à tous !
Jésus, le Bon Berger, connaît aussi ses brebis, il leur parle et elles entendent sa voix. Quel privilège grandiose !
Chafika avait parlé du Seigneur Jésus à une amie et celle-ci avait fini par croire en lui et à lui consacrer sa vie. Chafika se mit à lire régulièrement la bible et à prier avec son amie. C’est dans cette communion avec Dieu qu’est née progressivement, chez les deux chrétiennes, la certitude que Dieu voulait donner à l’amie l’examen qu’elle préparait assidûment. L’examen eut lieu et les résultats furent affichés, mais le nom de l’amie ne figurait pas sur la liste des personnes reçues à l’examen.
Déception et incompréhension ! Elles ne savaient plus comment elles pourraient désormais discerner la voix de Dieu.
Cependant, dans une pleine confiance en Dieu, elles se mirent bientôt à proclamer que leur Père Céleste était capable de parler clairement, qu’elles avaient bien discerné sa voix et que l’amie avait réussi son examen.
Trois jours plus tard, les listes furent retirées « en raison de certaines erreurs ». Quand les nouvelles listes apparurent sur le tableau d’affichage, le nom de l’amie y figurait !
La foi des deux croyantes en fut fortifiée et elles louèrent leur merveilleux Père Céleste.
Prions : Seigneur Jésus, je te remercie parce que tu es, pour moi aussi, le Bon Berger. Tu me connais, tu diriges ma vie, tu prends soin de moi, tu m’aimes. Tu es fidèle et je me confie en toi, en ta grâce, en ton amour pour l’éternité. Amen.
Théophile Hammann